The Crazy wild plants and the Foodingues are taking over for a few hours, the Silencio, the private club designed by David Lynch, just for a casual culinary performance made up of wild forage plants, for the club members, at the occasion of the release of the book le “Manifeste Gourmand des Herbes Folles” , the manifesto of the wild forage plant , written by Diana Ubarrechena, George Oxley and Gérard Ducerf, at the éditions du Toucan.
Bunches of wild flowers are glittering in neverending vasarelian mirrors… nothing about decoration… we are talking serious food to be crunched by special gourmets.
The menu has been designed according to the salvage natural of the master of the place, David Lynch :
We wellcome our guest on green velvet... starting with an aphrodisiac shot, unhibiting, to shape our guest in the best form possible in order to appreciate this feast and wipe off all the residues of bad, fast and too heavy Parisian food from the outside : the ultra fresh aphrodisiac hogweed, with it’s chlorophylle to the top, mixed with two varieties of plantain against allergies, Meadowsweet the best digestiv and vein cleaner, and the gout weed or bishop’s weed, to drain all the heavy food excesses.
Then it is a brick of false fish with fake mustard : We are just being the stock exchange, the temple of virtual money, so a bit of irony will do: why not give some fake stuff which is better than the true one : F For Fake, thank you Orson Welles… comfrey is the Dover sole of the forest, a total fraud when mixed with the glutinous seaweeds… a mix of nori, the ones of the sushi, but crop by us under the cliffs of Varengeville and the Fucus the famous bladder fucus sold in farmacy as diet food complement to loose weight. To this one line of Reseda cream, the plant which led to the discovery of cholesterol and the antioxidant : the lucky charm plat of the famous chemist Chevreuil, who has search all his life on the tricks and principles of immortality , who died at 104 of sorrow to have lost his 85 years old child. He was given a burial with the National honour for the foundamental services he rendered to humanity.
After these meditations on immortality, the truth and the fake which finally comes out victorious; we decided to put our steps in the sinuous ones of David Lynch to finally bump into a salmon duo lost in Mulholland drive : a banality at first, which sinks into the gluey moving grains of a quinotto to finish on spines which are in fact savory carbonised crispy seaweeds. It is precisely there that we collide with these big pinkish salmons, banal and vulgar, fresh from the deep American MidWest, with king size carton schooners in their hands. But the intriguing was that from the near, their Irish orangy pink was in fact black for the one and green for the other; a complexity with undescribable tastes that merits a little pose in order to start writing a TV soap opera. By chance here is just a tousled hairy Cardamine ! It stand for “to tame the heart” in Greek and scientists just found that it produced nevronic acid the precusor of the myeline of our brain… enough to keep running the serial for many seasons…
Finally lets’ get back on the Lost Highways, that we thought sinister and unhuman, for fantoms and zombis… Yes, yes, they tried to tell just the same things with the hogweed. It is for this plant that was invented the first herbicide : just imagine the favored food, wild forage of the English countryside… the cause of too many births… if you make it disapear there will be less poor in the world… simple no? They even pretended that it was the same plant as the Caucasian hogweed, which produce photosensitivity… A hogweed form the east carpates which turns you into lubricity without any possibility of seeing the sun anymore… and Bram Stoker invents Dracula, the lusty vampire who must hide from the sun…
No! Lost Highways are in fact the last refuge of liberty, where all delight are allowed, wher a frozen blackberry can pose on a blackerry sprout sherbet to get exploded by its’ astringent sweet and sour, where a frozen yogurt birsts with voluptuous meadowsweet and malt, to announce the total licence of the noight…
– Eh the wild forage plants, LISTEN ! It is all allowed, luxury, calm, voluptuous … SILENCIO
PS:
I must say as a post scriptum, that the public has been at the sheight of the place : passionate, really curious, hedonists and connoisseurs. I will just unveal the identity of one of them the great beaker Christophe Vasseur , from the beakery du Pain et des Idées, rue de Marseille, Paris 10°, who is now part of the French culinary Heritage though so young, wity and inventiv.
Les Herbes Folles et les foodingues investissent le Silencio, club privé décoré par David Lynch, pour une performance culinaire à base de plantes sauvages pour les membres du club, à l’occasion de la sortie du “Manifeste Gourmand des Herbes Folles” de Diana Ubarrechena, George Oxley et Gérard Ducerf, aux éditions du Toucan.
Des bouquets de fleurs sauvages miroitent sous les dorures vasaréliennes, qui n’en finissent plus… Là il ne s’agit plus de déco mais de sérieux, de nourriture : elles sont toutes à attraper et croquer avec les dents.
Un menu selon le naturel sauvage du maÃŽtre des lieux David Lynch :
Nous accueillons sur du velours… vert... en commençant par un shot aphrodisiaque et deshinibant, pour mettre en forme nos convives et les nettoyer des repas trop lourds au lance pierre des Parisiens : de la berce aphrodisiaque, toute fraiche, avec sa chlorophylle au top, mélangé aux 2 variétés de plantain antihistaminique, contre les allergies, la Reine des prés qui est un grand digestif et qui nettoie les veines, et l’herbe à la goutte qui en plus de nettoyer les veines, draine les excès de nourritures trop lourde.
Ensuite c’est une brique de faux poisson sur une fausse moutarde : nous sommes juste derrière la Bourse, temple de l’argent virtuel, alors un peu d’ironie, pourquoi pas leur donner du faux qui soit meilleur que le vrai ! La consoude est appelée la sole de terre, tellement elle a ce goût caractéristique de poisson. Les algues trompent à merveille sur la texture du poisson, avec en plus le glutineux… Il y a un mélange des fameux nori, les mêmes que ceux des sushi, bien qu’il aient été ramassés par nos soins sous les falaise de Varengeville et de Fucus le fameux goémon qui est vendu en complément alimentaire en pharmacie pour maigrir. A ceci s’ajoute un trait de sauce de rédésa qui est la plante qui nous a fait découvrir le cholestérol qu’elle inhibe et l’antioxydant; la plante fétiche du grand chimiste Chevreuil, qui a recherché toute sa vie les trucs et principes de l’immortalité et qui mourut à 104 ans de tristesse d’avoir perdu son fils, Il eut droit aux funérailles nationales pour son travail fondamental pour l’humanité.
Après ces méditations sur l’immortalité, le vrai et le faux qui lui est finalement supérieur; nous avons voulu suivre les pas sinueux de David Lynch pour tomber sur un duo de saumon perdus dans les rues de Mulholland : une banalité au premier abord qui s’enlise dans les grains mouvants de quinotto gluant, pour tomber sur des épines qui sont en fait des algues carbonisées savoureusement croustillantes. C’est là où nous tombons nez à nez avec des gros saumons roses, aussi banals que vulgaires, tout juste descendus du MidWest américain, leurs gobelets en carton king size à la main. Chose intrigante, de près leur rose orangé d’émigrés irlandais, se révèle noir pour l’un et vert pour l’autre, une complexité et des goûts indescriptibles qui méritent que l’on se pose un peu pour en écrire une série télévisée. Voici la raison de ce buisson hirsute de Cardamine qui tombe à pic ! Cardamine signifie en grec dompter le coeur et les scientifiques ont trouvé qu’elle produisait de l’acide névronique, le précurseur de la myéline de notre cerveau… de quoi faire tenir la série plusieurs saisons…
Enfin nous repartons sur les autoroutes perdues, que l’on croyait sinistres et inhumains, réservés aux fantômes et aux zombis… Oui, oui, on a voulu nous faire croire la même chose avec la grande berce. D’ailleurs, c’est pour elle que l’on a inventé l’herbicide : imaginez vous que c’était la plante favorite des campagnes anglaises … et il faisaient beaucoup d’enfants, Victoria demanda qu’on l’éradique pour qu’il y ait moins de pauvres… on essaya de la faire confondre avec la berce du Caucase, encore plus grande qu’elle et qui rend photosensible… une berce qui vient de l’est des Carpates et qui rend lubrique? Il n’en faut pas plus pour que Bram Stoker invente Dracula, le vampire lubrique qui ne peut se montrer au soleil…
Non! les Lost Highways sont en fait les derniers endroits de liberté, où tous les délices sont encore permis, là où la mûre glacée se pose sur un lit de pousse de ronce en sorbet, pour un feu d’artifice d’astringence et de sucré acidulé, là où le yogurt se glace voluptueusement dans des arômes de reines des prés et de malt, qui annoncent déjà la licence totale de la nuit…
– Eh les Herbes Folles, ECOUTEZ ! tout est permis, luxe calme et volupté … SILENCIO
PS:
Je dois dire en post scriptum, que l’assistance était à la hauteur du lieu : passionnés, réels curieux, hédonistes et connaisseurs. Je dévoilerai juste la présence du génial boulanger Christophe Vasseur , de la boulangerie du Pain et des Idées, rue de Marseille, Paris 10°, qui fait déjà parti du patrimoine français et pourtant si jeune, vifs et inventifs.